Pour vous remercier d'être aussi nombreux sur ma page auteur, je tenais à vous remercier en ouvrant ce nouveau concours !
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52 Commentaires
Un grand merci aux organisateurs du salon Les Halliennales ! Les auteurs n'ont manqués de rien, les bénévoles étant aux petits soins.
Merci à ma Julie qui est resté à mes côtés et aux copines auteurs Francoise, Pierrette, Mell ! Un bon moment passé avec vous également pour Lena et Marion ! Et les visites des lecteurs, juste extra Nathalie, Fleur, Aurélie, Nico, Alfreda, ma chéwie Frédérique et Stef ! Un bonheur de vous voir ! Un grand merci aux miens qui sont venus également me soutenir au salon Thierry, Véro et leurs loulous. Et vous tous qui sont venu(e)s nombreux (ses) ! Je vous dis juste à très vite ! Pour ceux qui sont déçus de ne pas être venus, rendez-vous au salon de Loos le 28 novembre.
Extraits Sara avait eu du mal à se remettre de ses émotions durant les deux premières heures qui suivirent la fin de l’opération chirurgicale de Tyler. Elle avait pourtant essayé de se reposer à plusieurs reprises dans son bureau où Anna avait demandé d’éviter de la déranger à toute l’équipe, mais il lui était impossible de retrouver son calme et de fermer les yeux.
Elle était restée assise sur le canapé, revivant le passé par flashs qu’elle tentait de refouler. Mais son esprit n’était plus capable de recevoir ses ordres et lui montrait sans cesse le visage de son ancien petit ami qu’elle n’avait jamais pu oublier… D’ailleurs, c’était la constatation qu’elle s’était faite… Elle devait bien se l’avouer, elle n’avait jamais réussi à sortir le jeune homme de sa tête ni de son cœur. Intérieurement, Sara était paniquée, complètement désemparée face à cette arrivée qui venait de réveiller ses vieux démons. Mais elle savait également qu’elle devait faire preuve de sagesse et, en tant que médecin, elle ne pouvait se permettre de mélanger ses sentiments affectifs dans son travail. Alors, pour sa conscience, elle décida de se lever dans l’intention de prendre des nouvelles de ses deux patients. Tandis qu’elle arrivait près de la porte de son bureau, elle croisa son reflet dans le miroir qu’elle avait accroché sur le mur et se figea. Lentement, elle leva la main vers son visage qu’elle caressa d’un geste hésitant. – Mon dieu… souffla-t-elle avant de passer ses mains plus vigoureusement sur son visage afin d’effacer les traits de la fatigue qui s’étaient installés. Ensuite, elle prit une profonde inspiration puis sortit tout en rajustant sa blouse. – Sara ? Qu’est-ce que tu fais ? La jeune femme se tourna vers son amie et esquissa un sourire. La réponse d’Anna fut un regard réprobateur qu’elle lui adressa plus intensément encore. – Tu n’as pas dormi, n’est-ce pas ? – Je suis si affreuse ? – Tu as la tête d’une mourante, Sara ! – Je me reposerai tout à l’heure. – Tu finis à dix-sept heures ce soir et tu as tes visites qui commencent à… Elle s’interrompit, jetant un coup d’œil vers sa montre. – Dans moins de deux heures ! – Je sais… – Tu ne vas pas tenir très longtemps si tu continues. La jeune femme soupira d’agacement puis fit un pas avant de se retourner vers Anna. – Ne fais pas comme Katie, s’il te plaît, Anna. Je n’ai pas besoin qu’on me mette au lit, qu’on me dise ce que je dois faire… je vais voir Monsieur Maclas et Monsieur Wilson, ensuite je passe dans la salle des internes pour le topo et je ferai mes visites. D’accord ? Anna la contempla longuement puis acquiesça d’un signe de tête, préférant ne pas insister devant l’air autoritaire du médecin. *** L’hiver avait repris ses droits. La verdure était recouverte par un épais manteau blanc. Au-dessus d’elle, le ciel disparaissait sous les nuages sombres de cette fin d’après-midi. – Tu me manques tellement, souffla-t-elle en fermant les paupières. À chaque fois qu'elle venait sur sa tombe, elle éprouvait ce pincement au cœur qui l’étreignait douloureusement, mais elle restait toujours pendant un long moment. Aujourd’hui, elle restait pensive, se remémorant les bons et mauvais souvenirs. Sa vie n’était plus la même depuis ces quatre années.
Extraits : Décidée cette fois à lui tenir tête, elle referma la boîte sans ôter la fine étoffe de papier qui protégeait le tissu et descendit avec le paquet sous le bras. Lorsqu’elle pénétra dans la cuisine, Emma écarquilla les yeux d’appréhension en découvrant son regard brillant de colère.
Frank Jenkins était toujours en conversation avec son interlocuteur et sursauta légèrement lorsque la boîte claqua sous son nez sur la table. Il leva la tête et fusilla sa fille d’un regard noir. – Je dois vous laisser, j’ai un petit problème à la maison. Très bien, Derek, oui… oui, je le lui dirai, à bientôt. Furibond, il raccrocha et se leva de sa chaise. – Tu peux me dire ce qui t’a pris ? Elle ne te va pas ? – Je n’en sais rien ! – Comment ça, tu n’en sais rien ? Tu vas essayer cette robe et… – Non ! Interdit, le gouverneur ouvrit des yeux ronds et la fixa avant de tourner la tête vers Emma qui voûtait les épaules. – Je t’ai dit que je ne voulais pas venir à ta réception, papa ! Ce n’était pas la peine de m’acheter cette robe… – Tu iras, Sara ! – Non, je n’ai pas envie d’y aller. Tu ne peux pas m’y obliger… Frank entrouvrit la bouche pour rétorquer mais la referma, remarquant que sa fille croisait les bras, décidée à le pousser à bout. Il fit quelques pas dans la pièce, se frottant le visage vigoureusement avant de se retourner vers elle. – Je ne crois pas m’être montré très exigeant avec toi, mais cette fois… – Tu plaisantes ?! Toi ? Pas exigeant ? Outré qu’elle lui réponde ainsi, il serra les mâchoires et tendit la main vers elle. – Donne-moi ton portable. Surprise, la jeune fille écarquilla les yeux. – Pourquoi ça ? – Il t’est confisqué et tu essaies cette robe tout de suite ! Même si je dois te traîner à cette réception par les cheveux, je le ferai. – Je te déteste ! – Je sais. Donne-moi ton portable et... tout de suite ! Les larmes aux yeux, elle le sortit de sa poche et le plaqua dans la paume de sa main ouverte d’un geste rageur. Satisfait, Frank poussa un soupir de contentement et prit la boîte avant de la lui mettre dans les bras. – Va essayer cette robe. Tu récupéras ton téléphone dimanche. Furieuse d’être punie de cette façon, elle allait rétorquer, mais il s’écarta pour qu’elle puisse passer. Alors, elle le foudroya d’un regard embué de larmes et obéit. – Ne claque pas… La porte se ferma violemment, lui coupant la parole. – … la porte, souffla-t-il. Mais qu’est-ce qu’il lui prend ? Emma le fusilla d’un regard froid et se tourna vers le plan de travail en secouant la tête. Quant à John, il se leva de sa chaise et contourna la table avant de passer devant le gouverneur sans lui accorder une quelconque importance. – Où allez-vous, John ? Serrant les poings, il s’arrêta près de la porte et se tourna vers lui. – Réconforter votre fille, Monsieur le Gouverneur ! *** Dans la maison du gouverneur, personne ne se doutait qu’un drame venait de se produire jusqu’à ce qu’Emma entende à la station de radio que le fils du brillant avocat était entre la vie et la mort, suite à un accident de la route. L’assiette qu’elle était en train de sortir du placard tomba sur le sol, se brisant en mille petits morceaux à travers toute la pièce. John pénétra dans la cuisine en entendant ce fracas violent et accourut vers elle. – Emma ? Emma ? Que vous arrive-t-il ? Choquée, la gouvernante ne répondit pas, se contentant de secouer la tête comme si elle se trouvait à mille lieues de l’endroit bien que John la secoua par les épaules. Revenant à elle peu à peu, elle regarda John et plaqua une main contre ses lèvres afin d’étouffer le cri d’horreur qui jaillit de sa gorge. – Sara ! Il leur avait fallu quelques minutes pour reprendre leurs esprits après l’écoute du terrible accident de Tyler qui passait sur les ondes de la radio. Puis, John avait pris les choses en main, Emma étant trop absorbée dans les nombreux essais de contacter sa jeune protégée. John revint dans la cuisine d’un pas précipité puis se dirigea vivement vers la gouvernante qui pleurait à chaudes larmes. – Vous avez réussi à la joindre ? Emma ?! cria-t-il en la secouant légèrement par les épaules. – Non ! Oh mon dieu ma petite Sara… Elle ne répond pas à son portable, c’est toujours la messagerie. – Où elle peut être, bon sang !? – Vous avez prévenu le gouverneur ? – Oui, il a appelé lui-même le lycée de Sara et à priori, elle n’y est pas allée... Je ne comprends rien… Où est-elle ? – Elle n’était pas avec Tyler… – Non, elle est peut-être à l’hôpital. Je vais m’y rendre. Le gouverneur ne devrait pas tarder. Emma hocha la tête et essuya ses larmes. Elle devait reprendre ses esprits et tenter à nouveau de joindre la jeune fille pour que tout le monde soit rassuré. Mais quelques minutes plus tard après le départ de John pour l’hôpital, son essai resta infructueux. |
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